20 décembre 2024
24 février 2022
Article paru dans ULaval nouvelles le 24 février 2022 par Matthieu Dessureault
La Chaire Claire-Bonenfant – Femmes, Savoirs et Sociétés entame une série de projections-tables rondes sur le thème du féminisme avec le documentaire C’est surtout pas de l’amour: Un film sur la pornographie
La sortie du film, en 1981, avait fait couler beaucoup d’encre, et pour cause. C’est surtout pas de l’amour: Un film sur la pornographie, comme son titre l’indique, porte sur cette lucrative et controversée industrie. Œuvre phare du Studio D, un programme de l’Office national du film du Canada (ONF), ce documentaire signé Bonnie Sherr Klein donne la parole autant à des acteurs pornographiques et travailleuses du sexe qu’aux détractrices qui dénoncent ce milieu, comme Kate Millet et Margaret Atwood.
«Ce film a été énormément critiqué et même censuré à l’époque. Son but est de condamner la violence dans la pornographie et l’exploitation sexuelle des femmes, en plus de faire réfléchir sur différentes ramifications de l’industrie. C’est un film qui ouvre beaucoup de portes pour une réflexion. D’ailleurs, au fil des entrevues, on voit une progression dans les pensées de certaines personnes qui travaillent dans l’industrie du sexe», indique Marie-Josée Saint-Pierre, professeure à l’École de design de l’Université Laval. […]
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